1-
Je procédai à une analyse minutieuse
et honnête de la situation, ensuite, je déterminai quelles pouvaient être les
pires conséquences de mon échec. Une chose était certaine, on n’allait ni me
fusiller ni me jeter en prison, je risquais d’être licencié et de voir ma firme
obligée de reprendre les machines installées, ce qui aurait signifié la perte
sèche des vingt mille dollars que nous avions investis.
2-
Après avoir ainsi envisagé les pires conséquences,
je me résignai à les accepter au cas ou cela deviendrait nécessaire.je me
disais, cet échec sera, évidemment, une faute dans mon parcours professionnel,
et pourra bien entrainer mon renvoi. Mais, même dans ce cas, je pourrai
toujours trouver un autre emploi.ma situation n’était donc nullement
désespérée. Quant à ma direction, elle devait bien se rendre compte que notre
nouvelle méthode de nettoyage du gaz n’était encore qu’au stade expérimental.et
si cet essai devait vraiment lui couter vingt mille dollars, elle avait les
reins assez solides pour le supporter.
« Or, dés que je fus prêt à
accepter, le cas échéant, ces conséquences extrêmes, mon stress disparut et
j’éprouvai une sensation de sérénité que je n’avais plus connue depuis
peut-être une semaine.
3-
A partir de cet instant , je
consacrai, très calmement, tout mon temps et toute mon énergie à la recherche
d’un moyen d’atténuer ces conséquences que, mentalement j’avais déjà
acceptées.je m’efforçai donc de trouver une possibilité de réduire ce risque de
perdre vingt mile dollars.après une série de vérifications et d’essais , je
découvris que le problème technique
pouvait être résolu en investissant cinq mille dollars de plus pour un
dispositif supplémentaire.mes patrons suivirent mon conseil et , au lieu de
perdre vingt mille dollars, notre société en gagna finalement quinze mille.
Technique « antistress » : Une formule utile pour gérer les situations stressantes -2-
Reviewed by rachman
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