Ce dispositif très discuté qui fait partie de l'anatomie
sexuelle de la femme a été noté la
première fois par Kinsey dans les années 40, officiellement découvertes par un
docteur allemand appelé Ernest Grafenberg en 1950, et popularisé (et appelé
après Grafenberg) par John Perry et Beverly Whipple dans les années 80. Le Point
G est sexuellement une sensible urétrale éponge comme le tissu qui peut être stimulé.
Le Point G peut produire un
orgasme intense en environ 10 pour cent de femmes et Gspot des orgasmes est
parfois accompagné d'une éjaculation du fluide par l'urètre (le fluide n'est
pas urine et semble être produit par les glandes du Skene autour de l'urètre).
Le pénis d'un homme peut stimuler le Le Point G s'il entre le vagin par-derrière
à un angle peu profond
Mais essayant à avoir un orgasme de Le Point G pendant les rapports
n'est pas facile, et ils viennent avec les mêmes défis d'arpenter,
chronométrant, et stimulation soutenante comme deux méthodes décrites juste
ci-dessus; il est extrêmement difficile pour l'homme pour frapper cette tache
juste redressée et synchroniser ses propres orgasmes avec sa femme. Ainsi Le Point
G n'est pas une fiable méthode pour beaucoup de femmes, , et ce n'est pas une
option pour les 90 pour cent prévus de femmes qui ne répondent pas à la
stimulation dans ce secteur. En outre, les femmes qui emploient un diaphragme pour
le contrôle des naissances ne peuvent pas avoir accès à leur G-tache parce que
le bord inférieur du diaphragme le couvre il est possible à une femme à avoir
un orgasme davantage mentalement que la
stimulation physique. Après tous, le cerveau est le corps le plus sensible organe
sexuel ; les femmes, comme les hommes, peuvent avoir des orgasmes dedans leur
sommeil, ainsi eux peuvent certainement avoir un orgasme s'ils sont balayés
loin avec la convoitise et la nouveauté et délégué excitation. Mais ce genre
mains libres de « vaginal
Le Point : G vérités et mensonges
Reviewed by rachman
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